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Homo orcus

                                          

 

une seconde humanité

Mai 2010 : découverte par des paléontologues allemands et français d’une nouvelle espèce d’hominidé vivant à notre insu. Une enquête sur l’existence avérée de cet ‘’intra-terrestre’’ nous plonge dans un buissonnement de questions scientifiques, philosophiques et morales. 

Le début de l’année 2010 est plus que surprenant lorsqu’on  s’intéresse aux origines de l’homme. La découverte de l’homme de Dénisova et la mise en lumière du métissage de  Sapiens et Néandertal par des chercheurs de l’Université Max Planck,  sont des nouvelles scientifiques déterminantes qui remettent en cause des pans entiers du savoir que l’on nous expose. Mais là est le propre de la science qui avance, au fil des validations d’hypothèses et de leur démentis. 


Plus difficile à croire encore, la découverte d’Homo orcus, un hominidé vivant actuellement  dans les grandes forêts d’Europe,  pourtant répertorié en 1998 par Delson et Flinkenstein, des paléontologues allemands de l’université d’Heidelberg  qui ne furent jamais pris au sérieux. Un véritable choc pour le monde scientifique mais également un bouleversement philosophique. Depuis, Copernic et Galilée,  on n’avait jamais imaginé cela. Et pourtant. 

L’enquête  autour d’Homo orcus est menée auprès de sommités d’une part, anthropologues, généticiens de l’INSERM et du CNRS, du Muséum National d’Histoire Naturelle, philosophes et théologien jésuite.  Leur expertise nous aide à admettre l’inimaginable.   Et ce travail  nous  mène également au cœur de l’habitat d’Homo orcus, dans les forêts, en compagnie de gens de pays aux témoignages parfois  effrayants.

 

 

 

 

 

 

 

 

     

 

 

 

 

Promenons-nous dans les bois

 

8h du matin. Nous ramassons des cèpes dans la forêt des Landes, peuplée à cet endroit proche des berges de la Leyre, de chênes pédonculés. Les champignons sont sortis dans la nuit. Des amanites  de toutes les couleurs, des bolets bais et des lépiotes, des tapis de chanterelles. Des cèpes aussi, par dizaines, émergent entre les feuilles de chênes. L’un d’entre eux est énorme et  son chapeau brun, légèrement glutineux, est mordu sur un côté, une morsure monstrueuse. 

- les ogres sauvages nous ont précédé! me dit Eric en me signalant l’événement avec son bâton de marche.

Petit entête

le film en entier (52min)

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